Nom : Nowell.
Prénom : James.
Surnom : Le Kid.
Age : 34 ans.
Réincarnation : Non.
Profession : Ex Militaire devenu par la suite kick boxeur professionnel.
Groupement : Milicien ex militaire.
Description physique :Si je devais donner une opinion sur mon physique, je me qualifierais comme banal au niveau de la « beauté ». J’ai souvent une coupe de cheveux extravagante. En effet, mes cheveux de couleur poivre et sel sont généralement complètement ébouriffés. Je porte une barbe courte et taillée minutieusement. Mon visage porte quelques séquelles de mon passé de soldat et de kick boxeur. Comme par exemple la cicatrice sur le bord de mon arcade est une marque d’un coup de poing que j’ai reçu en Irak. Même sans les cicatrices, mon visage reste dur. Ceci est du en partie à mes yeux d’un noir profond qui font souvent peur aux enfants qui ne me connaissent pas. Un jour, j’ai fait pleurer une petite fille de la classe de Laura rien qu’en la regardant. C’était très embarrassant… Autrement, de part l’entraînement intensif que j’ai subit à l’armée et le kick boxing que je pratiquais, j’ai hérité d’une musculature impressionnante et d’une force physique énorme. En contrepartie, je ne suis pas aussi agile que pourraient l’être d’autres personnes.
Sauf si je vais à une conférence officielle, je m’habille amplement. T-shirt, vert ou gris de préférence, et jean me suffisent largement. Je porte aussi régulièrement une veste de cuir noir. Moins souvent, je remets mon ancien uniforme de service.
Sinon, j’ai une excellente résistance à l’alcool et, comme je fumais dans ma jeunesse il en est de même pour la cigarette.
Description morale : Un jour, j’ai demandé à mes amis de me décrire mentalement, exactement comme j’étais réellement. Ils m’ont dit que j’étais doux, gentil, chaleureux, plein de bonnes volontés et plein de qualificatifs de ce genre. En fait, je ne suis comme ça qu’en présence des membres de ma famille. En réalité, je suis assez bien différent. Parmi ceux que je fréquentais à l’armée, je n’ai revu que mon plus proche ami, Glen, mon frère. Seul lui savait comment j’étais à cette époque. J’étais orgueilleux et fier. On me disait également, dans ma jeunesse, que j’étais un jeune chien fougueux. J’étais une véritable tête brûlée. J’agissais sans réfléchir, comme un enfant. D’où mon surnom, le Kid. Pour moi, la seule tactique, c’est de foncer dans le tas sans réfléchir. C’est peut être bête et insensé mais je n’arrive pas à trouver d’autres alternatives.
J'ai de nombreuses habitudes auxquelles je ne peux déroger. Par exemple, je refuse d'utiliser une autre arme qu'un Benelli M4. En général, j'arrive très facilement à me faire des amis.
Bizarrement, je remarque que mon tempérament d'antan refait surface. Il ne faut pas que je me laisse entrainer là dedans. Il ne faut pas que je redevienne le Kid.
Histoire :D’un pas rapide, je survolais les corps sans vie de mes camarades tous juste abattus et ceux, à demi décomposés des zombies démembrés. Lorsque je vis le cadavre inanimé de Glen, un frisson me traversa le corps. Là, je stoppais ma course. Une larme perla depuis mes yeux, coulant sur mes joues pour enfin tomber et ainsi terminer sa courte existence. Puis une autre larme se forma Puis encore une autre. Jusqu’à ce que mon visage ne fut plus qu’une vaste vallée où coulait une rivière de larmes. Après de longues minutes à me lamenter sur le sort funeste de mes compagnons de survie, je parvins enfin, difficilement, à m’arracher de ce flot continu de tristesse matérielle. Je relevais ma tête Désormais, je ne pleurerais plus. Il fallait que je fasse preuve de sang-froid et de bravoure face aux dangers qui m’attendaient dehors. Par peur de voir un des cadavres se relever, je ne fouillais pas dans les poches des morts. De toute manière, je n’aurais pas trouvé grand-chose d’intéressant. J’étais le seul dans le groupe à me servir d’un Benelli M4 pour « chasser » le Zombie. Je tâtonnais la poche gauche de mon pantalon. Le cahier était bien là Soudain, il me prit envie de le lire. C’était irrésistible. Je ne pouvais pas m’empêcher de toucher la bosse que faisait le bouquin dans mon pantalon. Toujours à cause des potentielles résurrections des morts, je me perchais sur une poutre pour lire. Je pris le carnet et l’ouvrai :
Le Carnet de la Résistance.
Prologue
J'écris dans ce carnet car depuis quelques jours, Los Angeles et le reste du monde, ne sont plus les mêmes. Des créatures ressemblant traits pour traits à des Zombies de jeux vidéo sillonnent la ville. Je vais coucher sur ce carnet autant de faits que je peux, jusqu’à ce que mon encre ou ma vie arrive à son terme…
Jour 1 : J’ai barricadé toutes les ouvertures de la maison. Heureusement que Marie avait acheté un grand stock de nourriture pour l’anniversaire de la petite. Il faudra tenir sur la réserve. On a encore l’électricité. J’ai pu appeler Glen. Apparemment, c’est pareil chez lui. Je lui ai proposé de venir dormir ici à partir de demain. C’est toujours mieux que dans un hôtel…
Jour 2 : J’ai ressorti le Benelli. J’ai abattu une dizaine de mort-vivants qui s’approchaient trop près de chez nous depuis le toit de la maison. Kim m’a vu. Peut être n’est-ce pas très bien de montrer de telles choses à un gamin de quinze ans mais je ne pouvais faire autrement. En fin d’après-midi, Glen et Jenny sont arrivés. Leur 4x4 était plein de sang. En sortant, Sophie était toute pâle. Ma pauvre nièce. Elle n’a que huit ans. Quel triste début de vie. M’enfin, elle en verra sûrement des pires par les temps que courent. Les enfants furent heureux de voir leur oncle malgré les circonstances.
Plus tard, une fois les enfants couchés, Glen me montra les armes qu’il avait prit au QG. Il ne m’a pas expliqué comment il a fait.
Jour 3 : J’ai examiné les armes. Il y a de quoi équiper un bonne trentaine d’hommes en fusils et en grenades. A midi, Kim m’a demandé si il pouvait lui aussi défendre la maison. J’ai refusé.
Jour 4 : Les Zombies sont de plus en plus proches. On a installé les deux mitrailleuses sur le toit. Pendant que Glen et moi protégions la maison, les femmes ont organisé les rations. En ressortant, le velux à grincé, il faut que je fabrique une trappe. Il y a de quoi faire.
Jour 5 : Pendant la nuit, j’ai entendu des bruits dehors. Les oiseaux partent de L.A. Je me demande si il ne faut pas qu’on s’en aille nous aussi.
Jour 6 : Un nombre impressionnant de zombies entourent la maison. Kim m’a redemandé si il pouvait nous aider. J’ai accepté. On dirait que ça lui plait de tuer ces créatures.
Jour 7 : Il faut qu’on s’en aille !! Je ne peux plus m’empêcher de rester correct devant les enfants. Dans ce bouquin non plus. Il y a de plus en plus de Zombies. Ils grattent les portes et les fenêtres. Ce midi, j’en ai vu un énorme dans la foule de décomposés.
Jour 8 : Ils vont péter la porte. J’ai distribué une arme à tout le monde, même un petites. On a aussi vidé la moitié des chargeurs de mitrailleuses. L’heure est grave, très grave.
Jour 9 : C’est bizarre mais j’ai l’impression que les réserves de nourritures diminues chaque nuit. Peut être des Zombies. On a fouillé partout mais ils ne peuvent entrer par nul part. Bizarre.
Jour 10 : Cette nuit, j’ai entendu un craquement. La porte d’un des maisons au bout de la rue a craqué. Là bas, tout le monde a été massacré. Sinon, les réserves de nourritures ont encore diminuées. Il faut que je m’occupe de ça. Je vais rester veiller cette nuit.
Jour 11 : C’était Kim. Jamais je n’aurais imaginé mon fils faire cela. Plus préoccupant encore, les énormes Zombies se rapprochent d’ici. On concentre tous nos tirs dessus mais ils sont coriaces.
Jour 12 : Ce n’est pas suffisant. Les Zombies géants sont parvenus jusqu’ici. La porte claque. On a tous préparé nos bagages. Demain, on part. J’ai jeté des mines et des grenades dans la foule de ces monstres. Ca a fait une belle explosion. Le sang a giclé partout.
Jour 13 : Ces créatures sont toujours plus nombreuses. On a tenté une sortie mais ils ont mordu Jenny. Elle a une sale blessure. En ce moment même, Marie s’occupe d’elle. Elle a de fortes fièvres. Nous, les gars, on est en train de sécuriser le 4x4. J’espère que ça va tenir.
Jour 14 : Dans la nuit, Kim a trouvé de gros morceaux de bois. On en a mis partout sur la voiture. Comme ça on pourra les éperonner. On va pouvoir passer. L’état de Jenny est de pire en pire. J’écrirais la suite plus tard…
… On a réussi !! On est partit de Los Angeles. Dans le début de soirée, on est passé dans une station essence. Le propriétaire ne nous a rien laissé tout prendre. Les femmes ont éloigné les petites. Glen, Kim et moi, on a abattu les occupants et nous avons pris, en bidons, le plus possible d’essence. On en a au moins pour trois semaines.
Jour 15 : Rien à signaler mis a part deux ou trois bandes de Zombies et Jenny, qui a le bras entièrement noir. On ne sait pas quoi faire. On ne s’est pas arrêté une seule fois depuis hier.
Jour 16-17-18 : Apparemment, une douleur est apparue dans tout le corps de Jenny. Elle ne peut même plus marcher correctement. Sur la route, il y a de nombreux réfugiés. Ils voulaient prendre notre véhicule. On a du les embrocher. Les fillettes ne veulent plus parler à personne.
Jour 19 : Jenny a de plus en plus besoins de manger, normal elle est si affaiblie. On a décidé de s’arrêter un peu.
Jour 20 à 25 : Pas grand-chose à signaler, la routine…
Jour 26 : Jenny est complètement folle. Elle essaye de mordre tous ceux qui s’approchent d’elle. Elle crache du sang de temps en temps. On a décidé de l’abandonner. Reste à l’annoncer à Sophie.
Jour 27 : Aujourd’hui est une triste journée. Lorsque Sophie se serrait contre sa mère malgré l’interdiction que l’on lui avait donnée, Jenny l’a mordu. En entendant le cri de ma nièce, j’ai accouru. Cependant, je suis arrivé trop tard. Jenny avait déjà éventré sa fille. Avant que je n’aie le temps d’abattre celle qui n’était plus qu’un simple Zombie, Glen avait déjà tiré. Il avait tué sa femme sans la moindre hésitation. Lorsque je me suis retourné, il pleurait à chaudes larmes. Nous sommes repartis un peu plus tard dans la journée, Glen reste prostré.
Jour 28 : Comme quoi après la pluie, il y a le beau temps. Nous avons rencontré un groupe de motards. On les a invité à venir avec nous. Sur les vingt-cinq, sept d’entre eux étaient contaminés. Ils ont tous été tués dans la foulée. On a distribué les armes à tout le monde et on a pris une moto pour chaque homme valide. On est repartis.
Jour 29 : On a été attaqué par des Zombies. On s’est réfugié dans une maison. On est tous sur le qui vive.
Jour 32 : Si je n’ai rien écrit depuis trois jours, c’est parce que j’ai été trop souvent sollicité pendant ces quelques jours. J’ai appris que nos compagnons avaient tous été auparavant militaires de métier. Les Zombies ont encerclé la maison. Ils sont chaque jour plus nombreux. Pour le moment nous n’avons aucuns mort ni aucuns blessés. Hier, Laura (ma fille) m’a demandé où étaient passées Jenny et Sophie. Je ne sais que lui dire…
Jour 34 : Pour les mêmes raisons que la dernière fois, je n’ai pas pu écrire sur ce cahier hier. Il s’est passé quelque chose d’horrible. Marie et Laura ont été mordues. On essaie de les soigner. Si on n’y arrive pas, je les tuerais dans leur sommeil. Je m’y suis résigné. Kim est complètement déraisonné. Il veut aller tuer les Zombies.
Jour 35 : Je ne peux m’empêcher de pleurer. Kim est mort. J’ai abattu Marie et Laura. Nous sommes bloqués dans le grenier. Nous allons nous battre ce soir.
Je fermai le livre. Aucun mort ne s’était relevé. Je descendis de ma poutre et ramassai mon Benelli. Dans ma poche, il y avait une allumette. Je la craquai dès que je fus arrivé devant les motos et je la jetai dans la motte de paille qui était devant. Il ne me fallut pas longtemps pour sortir de la maison. Je m’assis sur une pierre. Je regardai ainsi la maison brûler. Dès qu’elle fut complètement détruite, je m’enfonçai dans la plaine, à la lumière de la lune.
Caractéristiques : -Force 9/12
-Résistance 6/12
-Perception 6/12
-Agilité 5/12
-Apparence 5/12
-Éducation 4/12
-Volonté 7/12
Compétences :-Combat à mains nues (Maître).
-Arme de tir (Adepte).
-Vigilance (Adepte).
-Sérénité (Initié).
-Foi (Initié).
Inventaire :Arme : Benelli M4 (Fusil lourd) avec 6 cartouches.
- Spoiler:
- Bandages ciseaux.
- Lampe Torche.
- Fiole d'alcool 90°
Votre avis sur le forum : Très bon début il reste quelques choses à rajouter mais j'ai rarement vu de si bon forum en un seul mois d'existence.
Comment l'avez vous connu ? Top site (je ne sais plus lequel).
Aimez vous les fraises ? Bwwwwwaaaaa j'adoooooooooooore !!!!!!
Je n'ai pas encore fini mais ce sera pour bientôt.
Sujet: James Nowell, au rapport mon général... 
Mar 17 Mar - 19:16
