Les réfugiés du Sud

Les bruits de moteur, la poussière s'élevant dans le ciel et plus d'une cinquantaine de personnes marchant sur le sol brulant derrière les camions et jeep qui crachait leurs fumées noirs et les nuages de poussière.
C'est ainsi que les réfugié de la ville de CoulHill voyageait, mais il n'y avait pas que ça car tout le monde était dans un état d'inquiétude profonde. Et si il y avait un infecté ? allons nous pouvoir atteindre le camp de la milice ? Allons mourire ? tel était les questions qui n'avait de cesse d'être répétées.
Dans l'une des 4 camionnettes qui faisait parti du convois se trouvais un homme allongé sur la remorque, pour se mettre à l'aise et regardait les gens et émit un gros soupire.

- Combien je leur ais dis de ne pas être aussi inquiet ! Aucun d'entre nous n'a cette foutue infection. Si ils continuent on va tous crever de peur.

Tirant sur ça cigarette franchement allumée, Elias regarda les visages des différents réfugiés qu'il connaissait et d'autres survivants qui les avait rejoins au fur et à mesure, tous semblait désespéré et il y avait de quoi. Les vivres étaient pauvres et l'eau commençait à se faire rare, il fallait arriver au camp coute que coute !
Après une demie heure, leur demande fut entendue car devant eux se dressait le camp de réfugié, mais quelques part le mal aise grandis. Cela était certainement dut au faite des nombreux miliciens qui étaient redoutablement armé et qui semblait intransigeant.
Elias décendit de la camionette et tapa un coup contre la porte du véhicule.

- Je vais voir comment ça se passe pour rentré, fait en sorte que personne ne fasse de connerie.

Les deux personnes dans la voitures firent oui de la tête, fallait préciser que Elias était un peu vu comme le dirigeant du groupe à cause de ces connaissances en médecines et qu'il avait dépister toutle monde.
Il arriva pres des gardes de vigie les mains bien en l'air, ce n'était pas le moment de se faire tirer dessus pour des broutilles.

- Je suis avec un convois d'une cinquantaine de personnes, on aimerait rentré nous devons faire quoi ?
Mais faites vite certains sont à la limite de mourire de faim et nous avons des enfants qui sont pas tres bien hydrathé.

[Je m'arrete là, la suite à l'aléas ^^]

- Baissez les armes les gars

L'air désinvolte, un jeune milicien au tempérament virulent observait le nouveau convois, son Thompson pendant à ses flancs. Ses cheveux noirs en bataille et ses vêtements délavés, voir négligés, ne laissait émaner de lui aucune forme d'autorité qu'on aurait pu s'attendre à trouver chez des miliciens. Pourtant, il était indubitable que les soldats aux alentours l'écoutaient et aucun n'osa discuter son ordre. Ses yeux détaillèrent Elias avec une certaine appréhension, parcourant ensuite le petit groupe de personne derrière lui avec une certaine méfiance.

- Ok je vais me charger de ce convois-ci.

Et puis, observant yeux dans les yeux le médecin:

- C'est simple, nous allons vérifier que vous ne présentez pas de signes de contaminations. Les infirmiers vous donneront à chacun une ration de vivre pour la journée, et vous pourrez continuer vers la ville.
Et puis, tiens ne perdons pas de temps, je vais m'occuper de votre examen. Pour les autres qui vous accompagne, c'est les premières tentes à gauche là bas...

Son bras se releva et fit un signe négligé en direction d'une des tentes de premiers secours qui avait été aménagée. Puis, en revenant à son interlocuteur, le milicien fit signe à ce dernier de s'installer sur une chaise à la solidité douteuse en face d'une petite table aux bords arrondis, à coté d'un poste de garde pour l'instant inoccupé .
Une fois ceci-fait, l'examinateur s'installa en face de lui.

- Je suis le sergent Zack. Mais inutile de m'appeler sergent ou monsieur, merci...
Pour votre convois, d'où venez vous? Quelles affaires avez vous à déclarer?
Avez vous des personnes avec des compétences particulières? Ça pourrait vous être utile ici, on recrute un peu tout le monde pour assurer le continuité de la milice... L'avantage, c'est qu'on est payé en denrée: munitions et vivres.

Elias fit signe au convois et leur montra la tente de premier secours aménagé pour dépister et soigner les réfugiés arrivant. Elias alla vers le convois pour leur expliquer la situation; les gens étaient plus que nerveux même ici.

-Bon ça devrait bien se passer, ne vous inquiéter pas et faite bien se qu'il vous dise là bas. Normallement vous aurez chacun une ration de survie. Surtout ne mangez pas rapidement vous risquiez des douleur.
Bon passe moi mon paquetage, moi je passe là.


Le médecin retourna face au sergent et s'installa devant lui et l'écouta très attentivement ces questions et commença à réflechir à des réponses adéquats.
Déja en premier lieu, il sortit son arme et en retira le chargeur et pose le tout face lui sur la table, autant faire preuve de bone foi.

-Première affaire a déclarer, mon arme à feu, pour venir jusque ici fallait mieux être armé et sur ces gardes. Ensuite pour continuer je possedè une trousse a pharmacie mais je l'utilise pour m'occuper de mes patiens, inutils de vous dire où j'ai etudié avant tout ce merdier je peux juste vous dire que je sais opérer quelqun et sait aussi le dépister sur l'infection.

Sinon nous venons d'un village à une quarrantaine de killomètre au sud d'ici, la ville dois être detruite cetaiement. Il y a eut des problemes de contaminations là bas, il y a eut un fort exode mais nous sommes les seuls survivants. Je me suis assuré du cas de chaque personne. Quand au village, nous avons croisé des collègues à vous partant en campagne d'extermination.