~Nom~
Johansen
~Prénom~
Abigaëlle
~Surnom~
Aby / mongoose (mangouste)
~Age~
28 ans
~Réincarnation~
non
~Profession~
Ancienne militaire / ancienne milicienne / actuelle pillarde
~Spécialité~
La traqueuse
~Description physique~
Abigaëlle est une jeune femme de 27 ans, un mètre soixante treize pour un poids quelque peu faiblard de quarante et six kilo elle est pour une métisse plus grande très certainement à cause de son coté américain. La jeune femme est donc métissée, sa mère étant japonaise et son père américain ce doux mélange des genres à produit une enfant qui avec le temps donna naissance à une très belle jeune femme. Dans ce monde pourri il est plutôt rare de tomber sur une jeune femme s'étant aussi bien "conservée" si l'ont puis dire mais pour vous prouver tout cela nous allons l'observer sans qu'elle ne s'en doute cela nous évitera de nombreux problèmes. Abigaëlle possède tout les atouts physiques pour apporter à un homme un certain plaisir que ce soit à l'œil ou au touché, pour commencer un visage soigneux avec des joues satinées quelques peu rebondies qui donne envie de s'en emparer, de grands yeux d'un marron profond plissés à leurs extrémités rappelant ses origines japonaises. Au centre de son visage un nez bien dessiné surmontant des lèvres pulpeuses à souhait, ce beau visage est encadré par une longue chevelure brune lui tombant au creux des reins lorsqu'elle attache ses cheveux, ceux-ci étant agrémenté d'une étrange pince en bois prévu pour cet effet.
La jeune femme peut se targuer d'avoir en plus d'un visage attirant le corps qui va avec, bien qu'ayant perdu du poids depuis quelques mois de façon assez spectaculaire Aby a gardée ses atouts féminin et un corps assez bien sculpté. Des jambes d'une taille démesurée, des hanches très bien définies, une poitrine attrayante de part sa forme qu'elle s'applique pourtant à camoufler avec plusieurs bandes de tissus, rares sont les personne l'ayant vu sans cet artifice et eux seuls sont à même de comprendre pourquoi la jeune femme prend un tel soin à cette pratique. Car il faut bien avouer qu'elle ne prend pas autant de soin à camoufler le reste de son anatomie, il n'est pas rare que l'ont puisse apercevoir une parties de ses cuisses au travers de son treilli en mauvais état ou même une partie de son fessier qu'elle affiche sans aucune pudeur. Abigaëlle porte un petit tatouage sur
sa hanche gauche se finissant sur la cuisse ainsi qu'un autre plus imposant, semblable à son premier, dans le dos passant sur son épaule droite et finissant sa course à la naissance de sa poitrine. En général elle s'habille avec un pantalon de mauvaise facture de couleur acre qui lui permet de facilement se camoufler en ville, ses épaules sont couverte par une veste de cuir assez épaisse et devant son visage se trouve une sorte de masque. En réalité celui-ci lui permet de se couvrir le visage pour éviter lors de grand vent ou lorsque l'atmosphère est saturée en poussière et autre saleté du genre de les respirer.
~Description morale~
Abigaëlle est d'une simplicité à faire peur... Pour commencer elle aime décider, faire ce qu'elle souhaite sans y être forcée ou bien contrainte et de ce fait elle se place la plus part du temps comme la commandante en chef de son destin ne laissant personne la contre dire sur la marche a suivre de sa vie. Elle est donc têtue à outrance, ce dans pratiquement tout les domaines et seul son coéquipier semble parfois capable de la résonner sur certaine sujet sensible. Ensuite la jeune femme bien que femme veut se faire respecter en tant que soldat et par ce fait il n'est pas rare qu'elle sorte son mauser sous le nez d'un de ces sales machos qui se pensent tout permis avec elle car bien qu'aguicheuse et provocatrice lorsqu'elle en a envie, il est hors de question qu'un de ces gros porcs ne pose la main sur elle sans sa permission. C'est très certainement le deuxième point de caractère assez sensible chez elle le fait qu'elle soit impulsive...
Malgré son statut de traitresse elle ne semble pas avoir décidée de se remettre en question et il ne fait aucun doute qu'elle n'a de nos jour plus aucun mal a tuer pour survivre que ce soit civil comme milicien gradé ou non voir pillards s'il le faut, ce qui lui a valut son surnom de mongoose... Cependant il y a une chose à savoir sur Abigaëlle, la jeune femme est atteinte d'une maladie pulmonaire incurable du moins dans l'état d'avancement important qu'elle a prit, celle-ci a du lui faire changer quelques unes de ses habitudes ce qui n'a pas enchantée la japonaise. Elle ne peux plus se permettre de respirer d'air trop chargé en poussière ou autre micro-organisme sans aggraver ses symptômes. Ceux-ci bien que relativement bien dissimulées par la brune sont connus de son coéquipier Bryan mais aussi parfois observées par certaines personne avec qui elle se doit de paraître de temps à autres. Les principaux symptômes sont des vomissements du a divers épanchements de mucus dans les poumons de la jeune femme, de la fièvre ainsi que des frissons mais aussi des douleurs assez vives au niveau de la poitrine. Cette maladie à renforcée le coté je m'en foutisme de la brune ou plutôt son coté vivre sa vie comme elle l'entend puisqu'elle se sait condamnée il est devenue encore plus difficile de lui faire entendre raison.
~Histoire~
Tapis dans un coin sombre sur les hauteurs d'un immeuble une jeune femme était allongée là, arme à l'épaule, l'œil dans la lunette de visé. Ses grands cheveux bruns vagabondaient autour d'elle ceux-ci soigneusement attachés pour qu'ils ne viennent pas la déranger en passant devant ses yeux, sa respiration était calme, sur sa peau de douces traces de transpiration perlaient à cause de la chaleur. Bientôt deux heures qu'elle était ici à attendre l'arrivée de sa future cible.
En contre bas environ cinq cent mètres plus loin un 4*4 fit enfin son apparition, il avançait lentement, quatre hommes à l'intérieur lourdement armés mais peu importait, avec son arme elle n'aurait aucun mal à les persuader de leur laisser leur cargaison ainsi et sans rien dire. Ajustant son arme Abigaëlle pressa la détente...
~~~~
11 septembre 1981, une petite fille fit son apparition dans notre monde au sein d'un dispensaire de la petite ville du nom de Kami-misaka dans la province de Mutsu à l'est du Japon. Cette petite fille fut nommer par ses deux parents Abigaëlle de leurs nom de famille Johansen. La mère, une jeune femme de vingt et un ans, sans emploi, se prénommait Himiko, son père, un homme plus âgé de 6 années qu'elle, sergent dans l'armée des états unis d'Amérique, se prénommait Jack. Ce petit couple s'était rencontré deux années plus tôt lors d'une mission diplomatique du père mais nous nous égarons revenons à cette petite fille. Une fois dans ce monde elle sortit rapidement du dispensaire avec ses parents pour commencer sa vie dans la petite maison de ses parents.
Les premières années d'Abigaëlle se passèrent très bien, tant à l'école où elle avait de nombreuses facilitées malgré la difficulté du système japonnais ce qui faisait à cette époque la fierté de sa famille que dans ses relations avec celle-ci qu'elle s'efforçait à rendre heureuse, ce qui n'était pas difficile tant elle les aimait. Une petite vie si parfaite ou rien ne laissait prévoir le futur trouble que la petite fille en grandissant devrait affronter. Les années passèrent la petite fille grandit et vint le bouleversement qui secoua le monde, Abigaëlle avait 11 ans lorsqu'elle quitta la première fois son pays natal, le japon, pour rejoindre les états unis d'Amérique avec sa famille, son père ayant reçu un ordre de rapatriement immédiat sur le territoire américain. C'est ainsi que pour la première fois la famille Johansen eut vent de cette nouvelle maladie les médias n'ayant pas encore les même informations que l'armée des états unis ce qui ne fut qu'une questions de jours avant d'être faux. La panique prit place dans le cœur des gens lorsque les plus grandes villes au monde commencèrent à instaurer la loi martiale pour contenir l'infection mais surtout les infectées.
La petite Johansen vit ainsi son père les quitter réquisitionné par son gouvernement en juillet 1993 pour aller lutter contre l'infection car bien que "gratte papier" selon ses propres termes il n'en était pas moins militaire de carrière... Ce fut la dernière fois que Jack embrassa sa fille ainsi que sa femme celui ne revenant jamais de son affectation, cette disparition changea lentement mais surement Abigaëlle à moins que ce soit ce monde tombant en ruine qui s'en soit chargé mais le résultat était là. De la jeune fille souriante et joyeuse apparut après quelques années une adolescente de 14 ans, acariâtre, cherchant par tout les moyens de s'écharper de ce monde, buvant, fumant sous le regard effondré de sa mère incapable de la remettre dans le droit chemin elle même ayant bien du mal à se relever de la mort de son mari. Le point culminant de sa rébellion fut le tatouage qu'elle commença à se faire lors d'une de ses multiples fugues, c'est ainsi que l'adolescente fut placée dans une institution militaire petit privilège que l'ont accorda à sa mère en honneur à son mari mort sous les drapeaux. Le monde continua de se perdre dans de grandes mesures pour endiguer la crise et ce fut le début d'un long hiver nucléaire pour les pays les moins à même de prendre les bonnes mesures de sécurité les pays les plus influant ordonnant des tirs nucléaires mais de tout cela Abigaëlle ne vit rien. La discipline était très stricte dans le camp où elle se trouvait, aucune sortie, aucun accès aux drogues, aucun accès à l'information mais surtout un contrôle total de leur vie.
Nous sommes maintenant en 1997, les contaminations dans le monde sont en grand recul et il était temps de reconstruire. Abigaëlle à maintenant 16 ans et le programme de redressement avait porté ses fruits, malgré un début difficile où elle joua les fortes têtes il ne fallut que peu de temps aux instructeurs pour la mettre au pas et après deux ans bien qu'elle ne ressemble toujours pas à une personne modèle mais elle était devenu au yeux des gens une personne fréquentable. Ce programme lui avait même donné envie de rentrer dans l'armée ce qui ne fut pas un problème vu les diverses campagne de recrutements et ceux malgré l'age de la jeune femme. C'est ainsi que la brune fit ses classes, bien qu'elle ait du mal avec certains aspect de l'armée, principalement les exercices physique, son instructeur se montrant particulièrement dur avec elle, rapidement elle montra un certain talent pour les séances de tirs. Toutes personnes avec de tels résultats pendant ses classe est pressentit pour faire partie des unités des tireurs d'élite mais dans le cas d'Abigaëlle il n'en fut rien son instructeur la contraignant à repasser six mois à faire ses classes ce qui mit la jeune femme dans une rage folle et lui valu quelques semaines de mitard pour violence. A sa sortie la jeune femme réintégra l'unité de son instructeur et recommença ses classes mais rien n'avait changé, malgré ses nettes améliorations en condition physique et des séances de tirs toujours aussi efficace elle était toujours dénigrée par son instructeur et cela influé sur le comportement de ses collègues.
Mais un jour la chance lui sourit enfin en la personne de Gravenwell Bryan un sergent qui de passage vit la jeune femme à l'entrainement alors que son instructeur la rabaissée à nouveau. Celui-ci se rapprocha d'eux et commença à prendre à partit l'instructeur, Abigaëlle fut très surprise que cet homme ne prenne sa défense mais le remercia du regard pour une fois qu'un homme n'était pas la pour la rabaisser. L'effet de ce petit tête à tête ne se fit attendre quelques semaines plus tard la jeune femme fut intégrée dans la section d'entrainement des tireurs d'élite un rêve qui devenait réalité et ce grâce à cet homme alors qu'elle avait un peu plus de 17 ans. Alors que sa nouvelle formation commençait, un soir la brune croisa le sergent grâce à qui tout était arrivé, le suivant elle se retrouva nez à nez avec lui au détour d'un baraquement. S'approchant pour le remercier la jeune femme se pressa contre lui avant de l'embrasser tendrement le remerciant pour tout ce qu'il avait fait bien qu'il se défendre d'y être pour quoi que ce soit, prétextant qu'elle était la seule actrice de sa vie repoussant même ses avances les plus intimes la félicitant pour la place qu'elle avait réussi à atteindre. La soirée se finit donc ainsi Aby le laissant s'éloignant lui envoyant un baiser agrémenté d'un clin d'œil.
La formation de la jeune femme se passait parfaitement, elle réussissait la plus grande partie des tests théoriques ainsi que les tests pratiques de tirs se montrant parfaitement apte, mais certaines choses n'avait pas changées comme le sexe d'Abigaëlle et le machisme des gradés... C'est ainsi que la jeune femme devait subir à nouveau des humiliations certes bien différentes les classes étant finis. Bien qu'ayant toute les compétences requises après près de deux ans de travail étant devenue même apte à tirer avec des armes tel que les barrett ou les Mac Millan, elle n'avait jamais eut de missions sur le terrain alors que la totalité de ses collègues avait déjà connu cela, même une mission des plus bénignes lui aurait suffit pour qu'elle soit heureuse mais jamais elle ne vint. Au lieux de ça à chaque fois qu'elle se proposait les mêmes raisons de refus faisait leurs apparitions, arme à utiliser trop lourde pour elle, calibre trop imposant ou toute autres stupidités du genre alors qu'elle n'avait jamais eut de soucis au divers entrainements. Elle avait maintenant 20 ans une année de plus s'était écoulée et aucune mission ne lui avait encore était confiée à la brune celles-ci commençant à perdre espoir, c'est alors qu'elle eut vent du retour de Gravenwell Bryan, mais surtout de sa promotion au grade de Sergent-Chef et immédiatement une idée émergea dans sa tête une simple action qui s'appelait promotion canapé.